Cet article vous présente un de nos nombreux formateurs à H3 Campus, M. Farina-Cussac, formateur en droit social, droit des sociétés, droit fiscal et droit notarial, dans les classes de DCG, BTS Comptabilité et Gestion, BTS Professions Immobilières et BTS Collaborateur Juriste Notarial.
Quelle formation avez-vous suivi ? Quel est votre parcours ?
J'ai débuté par un Bac Comptabilité, ensuite j'ai continué sur ma lancée avec une Gestion Maîtrise de Droit social et enfin j'ai terminé avec un DEA (Master 2) d’Histoire du Droit.
Pourquoi le métier de formateur et depuis quand êtes-vous à H3 ?
C’est un rêve de gosse. J’ai toujours voulu enseigner, d’aussi loin que je me souvienne. J’enseigne à H3 depuis 2005.
Quelles qualités vous semblent indispensables au métier ?
Rigueur, empathie et patience.
Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur la matière que vous enseignez ?
Les matières que j’enseigne sont de plus en plus techniques avec les années : le droit social ou le droit fiscal connaissent de nombreuses réformes successives très ambitieuses qui nous obligent à nous adapter en permanence.
Mes cours sont tous sur support informatique, que j’alterne avec des projections en classe ou en ligne et des documents écrits. J’utilise principalement Powerpoint pour sa clarté de présentation.
Je veux des cours vivants, interactifs avec beaucoup d’échanges avec les élèves. Mes projets sont… secrets mais je peux vous dire qu’ils vont se faire en partenariat avec H3, en digitalisation et à destination de nos élèves.
Quels sont les enjeux du métier auquel vous préparez les élèves ?
Une nouvelle façon d’enseigner notamment avec la crise sanitaire. Le face à face pédagogique permanent n’est (malheureusement) plus possible donc on doit s’adapter. Je les incite à travailler davantage à distance, en autonomie et de pouvoir me contacter par mail régulièrement.
Qu'est ce qui caractérise les élèves d’H3 Campus ?
Le mélange des cultures, des milieux sociaux et des niveaux. Ça crée quelques difficultés mais c’est ce qui en fait sa force. Ça nous donne de vrais challenges à relever. On ne s’ennuie jamais ici.
Avez-vous une anecdote à partager ?
Un élève, un jour, m’a demandé pourquoi je parlais en anglais dans un de mes cours. J’avais utilisé l’expression latine « in fine ». Il croyait que c’était de l’anglais.
Comment voyez-vous l'enseignement de demain ?
Alterné en virtuel et présentiel, davantage tourné vers la compréhension et l’intelligence des savoirs plus que l’accumulation des connaissances et davantage collaboratif.